Trauma-Informed Practice with Indigenous Peoples across the Life Span

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Date: May 25, 2017

Presented by: Natalie Clark, Associate Professor, School of Social Work and Human Service, Thompson River University

Presentation: Natalie Clark examined the beginnings of a trauma practice framework that is Indigenous, intersectional and holistic and that considers how experiences of trauma and of healing are shaped by the interlocking impact of Indigeneity, age, gender, sexuality, and (dis) ability, among others. She discussed the development of Indigenous intersectional, trauma-informed and culturally safe practice approaches with people of different age groups. Ms. Clark also described how to assist Indigenous peoples in understanding and improving their coping responses to daily triggers including the impact of experiences of racism, poverty, sexism, and colonialism.

Bio: Natalie Clark teaches undergraduate and graduate courses on trauma practice. Natalie’s work is informed and mobilized through her interconnected identities including her Metis ancestry; as a solo-parent of three Secwepmec children and part of the Secwepemc community; an academic; a community based researcher and counsellor. Natalie’s practice, teaching and research over the last 15 years have focused on trauma with children, youth and their families and communities and the coping responses to trauma and violence including experiences with issues of sexual exploitation; eating disorders; addictions, youth justice and health. Natalie’s research focuses on Indigenous field education, and Indigenous child and youth trauma, with a focus on healing and resistance to violence and trauma, including the impact of policy and intersecting policies on Indigenous families and communities. Natalie continues to practice and provide training on trauma-informed girls groups, including the model she co-developed and facilitated for over 12 years in both rural and urban space.

Resources:

Date :  25 mai 2017

Présentatrice : Natalie Clark, professeure associée, School of Social Work and Human Service, Université Thompson River.

Présentation :  Natalie Clark a examiné les premiers pas d’un cadre de pratique tenant compte des traumatismes autochtone, intersectoriel et holistique, et qui s’intéresse à la façon dont les effets combinés de facteurs tels que l’indigénéité, l’âge, le sexe et le niveau de capacité influencent la façon dont le traumatisme et la guérison sont vécus. Elle s’est entretenue du développement d’approches autochtones intersectorielles, tenant compte des traumatismes, respectant la réalité culturelle utilisées auprès de personnes d’âges différents. Mme Clark a également expliquer comment aider les peuples autochtones à comprendre et à améliorer leurs façons de réagir et de s’adapter à des éléments tels que l’impact des expériences de racisme, de pauvreté, de sexisme et de colonialisme.

Biographie : Natalie Clark donne des cours de premier et deuxième cycle sur les pratiques liées aux traumatismes. Son travail est influencé par les diverses identités qui la composent, notamment son ascendance métisse; son rôle de mère élevant seule trois enfants Secwepmec et son appartenance à la communauté Secwepmec; sa fonction universitaire; ainsi que son travail en qualité de conseillère et chercheure communautaire.  Ces 15 dernières années, la pratique, l’enseignement et la recherche de Natalie ont porté sur les traumatismes chez les enfants, les jeunes et leur famille et communauté, ainsi que sur leurs façons de réagir aux traumatismes et à la violence, entre autres liés à l’exploitation sexuelle, les troubles de l’alimentation, la toxicomanie, ainsi que la santé et la justice pour les jeunes. Sa recherche porte sur l’éducation dans le domaine autochtone, le traumatisme chez les enfants et les jeunes autochtones, avec une emphase sur la guérison et la résistance à la violence et au traumatisme; elle s’intéresse en outre aux effets des politiques et de leur entrecroisement sur les familles et communautés autochtones. Natalie continue à pratiquer et à offrir des formations axées sur les traumatismes à des groupes de filles, en s’appuyant sur le modèle qu’elle a cocréé et qu’elle utilise depuis 12 ans, tant en milieu rural qu’urbain.

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