Stronger Together! 3 Reasons for Local Governments and Community Organizations to Collaborate to End GBV

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Stronger Together! 3 Reasons for Local Governments & Community Organizations to Collaborate to End GBV

This Learning Network and Federation of Canadian Municipalities infographic is part one of a two-part series on collaboration between local governments and community organizations to end gender-based violence. This infographic shares three reasons why this collaboration is essential and how it can leverage one another’s expertise and resources.

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Gender-based violence (GBV) continues to be a pervasive issue in communities across Canada and is a significant barrier to the advancement of gender equality and equitable civic engagement. For instance, the rise of online harassment can impede women’s political participation in the municipal sector and their inclusion in key areas of civic leadership.

Collaboration between local governments and community organizations dedicated to gender equality and anti-violence work (e.g. shelters, rape crisis centers, survivor-led organizations, settlement services, etc.) can accelerate the achievement of results in the fight against GBV, and help create more inclusive, engaged, and safe communities for all.

GBV is violence directed at an individual because of their gender, gender expression, gender identity or perceived gender. It is a violation of human rights.

The impacts of GBV are compounded for individuals who experience social marginalization, including sexism, racism, colonialism, and ableism.

3 key reasons why collaboration is essential for the success of anti-GBV efforts.

1. A complex problem requires a coordinated response


  • GBV is a serious social problem with interconnected root causes. It is best tackled with comprehensive GBV prevention efforts, education and solutions that bring together local government agencies, supported by the expertise and reach of anti-GBV and other community organizations.
  • Collaboration can help break down silos between community members and agencies. It can also identify critical gaps and point to appropriate strategies and responses.

2. Credibility and resources are required for change:


  • Achieving impact requires access to systems, structures, as well as community members
  • Collaboration leverages the complementary resources and access points of local governments and community partners.
  • Community organizations involved in violence prevention and front-line supports for survivors have:
    • Led decades of work and advocacy
    • Built trusting and meaningful relationships with diverse communities and groups
    • Ensured the voices of those with lived experiences of violence and oppression are at the core of GBV initiatives
  • Local governments are uniquely positioned to drive social change through their own internal operations and financial allocations, as well as the delivery of municipal services.

3. Shared commitment and mutual accountability results in greater collective impact

  • Collaboration allows local governments and community organizations to leverage one another’s existing resources.
  • Through dynamic and ongoing collaboration, local governments and community organizations addressing GBV can identify, implement, monitor, and evaluate solutions that lead to safer, inclusive and vibrant communities for all.
  • Collaboration allows both local governments and community organizations to be proactive and put in place policies and programs that address the needs of all people.

Women and gender-diverse community members deserve to live and work in safety and dignity. Action at the local level can bring long-lasting change and save lives when done collaboratively. The time to act is now – reach out to your counterparts today. Read more on 4 building blocks essential to successful collaboration between local governments and community organizations!

This infographic was produced by the Federation of Canadian Municipalities’ Canadian Women in Local Leadership project with funding from the federal government through Women and Gender Equality (WAGE) and in partnership with the Learning Network at the Centre for Research & Education on Violence Against Women & Children.

L’union fait la force : trois raisons pour lesquelles les gouvernements municipaux et les organisations communautaires doivent collaborer pour mettre fin à la VFG

Cette infographie du Learning Network et de la Fédération canadienne des municipalités est la première partie d'une série de deux sur la collaboration entre les gouvernements locaux et les organisations communautaires pour mettre fin à la violence fondée sur le genre. Cette infographie présente trois raisons pour lesquelles cette collaboration est essentielle et comment elle permet tirer parti de l'expertise et des ressources de chacun.

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La violence fondée sur le genre (VFG) demeure un problème omniprésent dans les collectivités du Canada et constitue un obstacle important à l’avancement de l’égalité des genres et à l’engagement civique équitable. Par exemple, la montée du harcèlement en ligne constitue un obstacle à la participation politique des femmes dans le secteur municipal et à leur inclusion dans les principaux domaines du leadership civique.

La collaboration entre les collectivités locales et les organisations communautaires qui se consacrent à l’égalité des genres et à la lutte contre la violence (p. ex. les refuges, les centres d’aide aux victimes de viol, les organisations dirigées par des survivants, les services d’établissement, les autres organisations d’aide sociale) peut accélérer l’obtention de résultats dans la lutte contre la violence fondée sur le genre, et contribuer à créer des communautés plus inclusives, plus engagées et plus sûres pour tou.te.s.

La VFG est une violence dirigée contre une personne en raison de son genre, de l’expression de son genre, de l’identité de son genre ou de la perception de son genre. C’est une violation des droits de la personne.

Les impacts de la VFG sont aggravés pour les individus qui subissent une marginalisation sociale, notamment le sexisme, le racisme, le colonialisme et le capacitisme.

Trois raisons principales pour lesquelles la collaboration est essentielle au succès des efforts de lutte contre la VFG.

1. La coordination à grande échelle des efforts d’intervention est nécessaire pour résoudre les problèmes complexes

  • La violence fondée sur le genre est un grave problème social dont les causes profondes sont interconnectées. Ce type de problème demande une éducation et des solutions globales de prévention de la VFG qui rassemblent tous les organismes concernés des gouvernements. municipaux, soutenus par l’expertise, la présence et la portée des organisations de lutte contre la VFG et d’autres organisations communautaires.
  • La collaboration peut aider à réduire le cloisonnement entre les membres de la collectivité et les organismes, à répartir le travail déjà commencé et à cerner les lacunes importantes et les interventions appropriées.

2. Les changements nécessitent de la crédibilité et des ressources

  • Pour exercer une influence, il faut avoir accès aux systèmes, aux structures ainsi qu’aux membres de la collectivité.
  • La collaboration permet de tirer parti des ressources complémentaires, des points d’accès des gouvernements municipaux et des partenaires communautaires.
  • Les organisations communautaires qui proposent des programmes de prévention de la violence et qui offrent des services de soutien de première ligne aux survivant.e.s :
    • ont plusieurs décennies d’expériences en matière de réponse à la VFG
    • ont noué des relations significatives et de confiance avec divers groupes et communautés.
    • savent s’assurer que les voix des personnes ayant vécu de la violence et de l’oppression sont prises en compte lors de la conception des efforts de prévention et d’intervention en matière de VFG.
  • Les gouvernements municipaux sont particulièrement bien placés pour favoriser le changement social grâce aux services municipaux offerts à la collectivité, à leurs activités internes, à leurs affectations financières et à leur leadership dans la collectivité.

3. Un engagement commun et une responsabilité mutuelle se traduisent par une incidence collective plus importante

  • La collaboration permet aux gouvernements locaux et aux organisations communautaires de tirer parti des ressources existantes de chacun.
  • Grâce à une collaboration dynamique et continue, les gouvernements municipaux et les organisations communautaires de lutte contre la VFG peuvent cerner, mettre en œuvre, suivre et évaluer des solutions qui donnent lieu à des collectivités plus sécuritaires, plus inclusives et plus dynamiques pour tou.te.s.
  • La collaboration permet aux gouvernements municipaux et aux organisations communautaires d’être proactifs et de mettre en place les bonnes politiques et les bons programmes qui peuvent servir les personnes quand elles en ont le plus besoin.
Les femmes et les membres des collectivités de diverses identités de genre méritent de vivre et de travailler dans des espaces sociaux et politiques en toute sécurité et dignité. Les initiatives entreprises au palier municipal peuvent apporter des changements durables et sauver des vies lorsqu’elles sont menées en collaboration. Il est temps d’agir - contactez vos homologues dès aujourd’hui. Cliquez ici pour en savoir plus sur les quatre éléments essentiels à une collaborationréussie entre les collectivités locales et les organisations communautaires.
Cette infographie a été produite dans le cadre du projet Femmes canadiennes en politique locale de la Fédération canadienne des municipalités, grâce à un financement du gouvernement fédéral accordé par l’intermédiaire de Femmes et égalité des genres (FEGC) et en partenariat avec le Réseau d’apprentissage du Centre for Research & Education on Violence Against Women & Children.